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Bon bien pas d'espoir de le voir revenir à ses premiers amours de l'ovalie.
https://actu.fr/occitanie/toulouse_3155 … 73195.html
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Parce que tu croyais qu il allait revenir dans un club en plein déclin !!
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Oui oui on sait, déclin etc.
Mais bon, pour un type de son niveau médiatique, je suis étonné que son futur job soit de diriger un McDo (il y'en a 1400 en France...)
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vpl a écrit:
Oui oui on sait, déclin etc.
Mais bon, pour un type de son niveau médiatique, je suis étonné que son futur job soit de diriger un McDo (il y'en a 1400 en France...)
Je ne suis pas surpris de son non-retour à Grenoble : il est évident tellement il a vécu à Toulouse et s'y est fait des relations, à commencer par sa famille. Par contre, comme VPL, je suis stupéfait par sa reconversion car il aurait sans doute pu exercer son envie de management dans plein de structures plus valorisantes, à commencer par celles de certains de ses co-équipiers.
Ceci étant, comme disaient mes anciens, chacun voit midi à sa porte !
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bouget a écrit:
Parce que tu croyais qu il allait revenir dans un club en plein déclin !!
Pour le coup le déclin il est plutôt du côté de Vincent Clerc : franchement terminer chez MacDo, le roi de la malbouffe …
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vouillants a écrit:
bouget a écrit:
Parce que tu croyais qu il allait revenir dans un club en plein déclin !!
Pour le coup le déclin il est plutôt du côté de Vincent Clerc : franchement terminer chez MacDo, le roi de la malbouffe …
C'est sujet buvette, mais je n'aurais pas mieux exprimé ma déception.
Mais osef, il fait sa vie.
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hallucinant qu'il s'emmerde à vendre du hamburger au pays du cassoulet .
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Zoreil a écrit:
hallucinant qu'il s'emmerde à vendre du hamburger au pays du cassoulet .
Tu me l'ôte de la bouche... (ôtes le macdo mais laisse moi le cassoulet, stp).
Il fait ce qu'il veut de sa vie, mais à l'entendre dire qu'il va prendre plein d'initiatives, il va tomber de haut.
J'ai connu un directeur de MacDo en burn out, c'est pas le pied : rien de plus verrouillé que cette franchise amerloque, où tout est formaté, au gramme près pour les ingrédients, à la seconde près pour la préparation du sandwiche, au mot près pour l'image médiatique etc etc . A part quelques opérations promos surfant au début sur son image, il ne fera que de la gestion et de la gestion de personnel, point barre.
Il va vite se faire chier; pour un mec qui était électron libre insaisissable, je peine a comprendre.
Mais bon. Bonne chance à celui qui nous a tant fait rèver.
Dernière modification par dauphin (08/07/21 11:09)
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Vous avez raison il vaut mieux parler de Clerc que du fcg.....Mais vous en faites pas pour lui ; il est consultant a la télé, sa femme est médecin généraliste et directeur d un mc do même si c est de la malbouffe il ne doit pas être au smig !
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dauphin a écrit:
J'ai connu un directeur de MacDo en burn out, c'est pas le pied : rien de plus verrouillé que cette franchise amerloque, où tout est formaté, au gramme près pour les ingrédients, à la seconde près pour la préparation du sandwiche, au mot près pour l'image médiatique etc etc
pas sûr qu'il ai le même traitement qu'un employé lambda, je vois plutôt ça comme du marketing de la part de Mc Do.
J'avais cru comprendre qu'il était parti de chez nous entre autres raisons , pour faire des études de Kiné.
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bouget a écrit:
Vous avez raison il vaut mieux parler de Clerc que du fcg.....Mais vous en faites pas pour lui ; il est consultant a la télé, sa femme est médecin généraliste et directeur d un mc do même si c est de la malbouffe il ne doit pas être au smig !
mersi du consaye, sa fé réflaichire
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Avec leurs Mcdonald’s, les multifranchisés deviennent souvent millionnaires
Certains roulent en Porsche, voire les collectionnent. D’autres préfèrent ne pas flamber, en souvenir de leurs débuts modestes. Les plus importants des 307 franchisés McDonald’s peuvent se vanter d’avoir tiré le gros lot : il est rare qu’un McDo fasse faillite. Laurent Humler est l’un de ces heureux. A 59 ans, cet ancien de Monoprix et de La Redoute chapeaute 10 restaurants autour de Reims, «bientôt 11 !» – la norme est plutôt de 3 pour ses confrères. Depuis qu’il s’est lancé dans les burgers, il y a vingt ans, il n’a pas lésiné sur les efforts pour percer : douze mois de formation au bac à frites, et au management, afin de pouvoir diriger correctement ses 480 employés.
Son salaire de 11 000 euros par mois est confortable. Mais son vrai pactole, c’est pour plus tard qu’il se le réserve, quand il se retirera. S’il cédait son affaire aujourd’hui, il empocherait un peu plus de 8 millions d’euros. La valeur de ses fonds de commerce est en effet estimée à 16 millions, mais comme il est associé à part égale avec McDo France, il n’en toucherait que la moitié. Déjà pas mal… La firme, elle, peut se frotter les mains : elle possède les murs des restaurants et prélève un loyer compris entre 14 et 18% du chiffre d’affaires, en plus des 5% qui partent directement au siège américain. Même à ces conditions, les aspirants franchisés se bousculent : 2 200 ont tenté leur chance l’an dernier, pour une dizaine d’élus.
Dernière modification par abeille (08/07/21 14:42)
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gudule a écrit:
bouget a écrit:
Vous avez raison il vaut mieux parler de Clerc que du fcg.....Mais vous en faites pas pour lui ; il est consultant a la télé, sa femme est médecin généraliste et directeur d un mc do même si c est de la malbouffe il ne doit pas être au smig !
mersi du consaye, sa fé réflaichire
En voilà un qui fait plein de fôtes, donc c'est pas un imbécile !
Hi-han, qui adore le McDo !
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abeille a écrit:
Avec leurs Mcdonald’s, les multifranchisés deviennent souvent millionnaires
Certains roulent en Porsche, voire les collectionnent. D’autres préfèrent ne pas flamber, en souvenir de leurs débuts modestes. Les plus importants des 307 franchisés McDonald’s peuvent se vanter d’avoir tiré le gros lot : il est rare qu’un McDo fasse faillite. Laurent Humler est l’un de ces heureux. A 59 ans, cet ancien de Monoprix et de La Redoute chapeaute 10 restaurants autour de Reims, «bientôt 11 !» – la norme est plutôt de 3 pour ses confrères. Depuis qu’il s’est lancé dans les burgers, il y a vingt ans, il n’a pas lésiné sur les efforts pour percer : douze mois de formation au bac à frites, et au management, afin de pouvoir diriger correctement ses 480 employés.
Son salaire de 11 000 euros par mois est confortable. Mais son vrai pactole, c’est pour plus tard qu’il se le réserve, quand il se retirera. S’il cédait son affaire aujourd’hui, il empocherait un peu plus de 8 millions d’euros. La valeur de ses fonds de commerce est en effet estimée à 16 millions, mais comme il est associé à part égale avec McDo France, il n’en toucherait que la moitié. Déjà pas mal… La firme, elle, peut se frotter les mains : elle possède les murs des restaurants et prélève un loyer compris entre 14 et 18% du chiffre d’affaires, en plus des 5% qui partent directement au siège américain. Même à ces conditions, les aspirants franchisés se bousculent : 2 200 ont tenté leur chance l’an dernier, pour une dizaine d’élus.
En lisant ça, je me dis que mes idoles ont bien changées. Ou que c’est moi qui ne comprend plus rien , un monde s’écroule , que pouvait il vendre de pire ?
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J'avais rêvé d'une holding à la dauphinoise avec Merle-Chaffardon-Alexandre-Clerc-Messina-Ollivier... pour émoustiller le monde industrialo-économique de notre Y.
Utopie donc.
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La plus part des gens essaient de profiter des dérives de ce monde plutôt que de les combattre car c'est bien plus facile.
On fait un peu tous pareil pour tenter d'imiter ceux qui ont réussi (dans les critères de réussite de ce monde).
Après il conviendra de pouvoir se regarder et regarder nos enfants et petits enfants en face et leur dire, voilà le monde qu'on vous a laissé, c'est une jungle et une poubelle et débrouillez vous avec!
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C'est vrai, il aurait pu vendre des éClerc au chocolat bio, là, il préfère vendre de la m... pas Clerc... Bel exemple.
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Décevant qd même, l argent n a pas d odeur. Ou plutôt une odeur de frites.
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je jour ou j'investis dans mac do je marche dans la rue avec un sac en papier sur la tête et je fais deux trous pour les yeux ...
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Est ce mieux d'être commentateur à Canal+?
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Pas la même image.
D un côté la compétence rugbystique de l autre le marchand de frites.
Mais comment a t il pu aller ds une petaudiere pareille.
Comme dirait Souchon : mais si j'dis ça je casse mon image.
Ben là clerc casse son image .
Ça s est dommage.
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