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Bonjour,
Vendredi soir, la finale qui opposait des Caterpillars à des Bull-Dozers est devenue au cours du jeu, insipide, inintéressante, sans suspens, et triste. Chaque équipe n'arrivant pas à aligner 3 passes d'affilée, le spectateur a dû se contenter d'assister à un combat d'avants qui attendaient la faute de l'adversaire pour progresser, avancer et scorer.
Le tout sous les commentaires de 2 journalistes sportifs télé en manque d'inspiration, devenus chauffeurs de salle, qui essayaient de faire naître un enthousiasme, une passion, qui, hélas, avortaient à chaque impact, une touche mal négociée, un ruck stérile ou une position de hors-jeu. Nos 2 compères se limitaient à des phrases telles que : "l'enjeu l'emporte sur le jeu", "le syndrome Bothia", "plaque tectonique", "jeu de mains jeu de demain"... avec toutes ces phrases "bateau", qui, amarrées au port de La Rochelle, auraient pu recréer l'Invincible Armada (flotte espagnole du 16ème siècle).
Le rugby d' aujourd'hui c'est : pas de mêlée, pas de victoire, mais vendredi soir on pouvait ajouter "pas de Botteur", "pas de Butteur", "pas de Droppeur" ; conclusion : "pas champion". Le demi d'ouverture des rochelais, WEST, terne, était "à l'ouest". Ajoutons une pluie incessante avec un ballon devenu une savonnette, on a dû se satisfaire de touches, mêlées, pénalités ; à toi à moi, à moi à toi et ping-pong rugby.
Si on ne pouvait pas franchir le mur de l'atlantique on allait bombarder avec l'artillerie ce Riche-Lieu et faire le siège du camp de La Rochelle, comme l'avait prouvé ce magnifique drop-goal de KOLBE, de 50 mètres face aux poteaux qui a surpris même l'entraineur de Toulouse.
A la fin, Toulouse 18, champion, La Rochelle 8, vice-champion.
Dernière modification par LALLIER (27/06/21 12:53)
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WEST, terne, ....était "à l'ouest"
Joli 👏👏👏😁
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LALLIER a écrit:
Bonjour,
Vendredi soir, la finale qui opposait des Caterpillars à des Bull-Dozers est devenue au cours du jeu, insipide, inintéressante, sans suspens, et triste. Chaque équipe n'arrivant pas à aligner 3 passes d'affilée, le spectateur a dû se contenter d'assister à un combat d'avants qui attendaient la faute de l'adversaire pour progresser, avancer et scorer.
Le tout sous les commentaires de 2 journalistes sportifs télé en manque d'inspiration, devenus chauffeurs de salle, qui essayaient de faire naître un enthousiasme, une passion, qui, hélas, avortaient à chaque impact, une touche mal négociée, un ruck stérile ou une position de hors-jeu. Nos 2 compères se limitaient à des phrases telles que : "l'enjeu l'emporte sur le jeu", "le syndrome Bothia", "plaque tectonique", "jeu de mains jeu de demain"... avec toutes ces phrases "bateau", qui, amarrées au port de La Rochelle, auraient pu recréer l'Invincible Armada (flotte espagnole du 16ème siècle).
Le rugby d' aujourd'hui c'est : pas de mêlée, pas de victoire, mais vendredi soir on pouvait ajouter "pas de Botteur", "pas de Butteur", "pas de Droppeur" ; conclusion : "pas champion". Le demi d'ouverture des rochelais, WEST, terne, était "à l'ouest". Ajoutons une pluie incessante avec un ballon devenu une savonnette, on a dû se satisfaire de touches, mêlées, pénalités ; à toi à moi, à moi à toi et ping-pong rugby.
Si on ne pouvait pas franchir le mur de l'atlantique on allait bombarder avec l'artillerie ce Riche-Lieu et faire le siège du camp de La Rochelle, comme l'avait prouvé ce magnifique drop-goal de KOLBE, de 50 mètres face aux poteaux qui a surpris même l'entraineur de Toulouse.
A la fin, Toulouse 18, champion, La Rochelle 8, vice-champion.
Bravo , bien vu , bien écrit et bien vrai !!!
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Et pendant ce temps là finale anglaise se terminait à 40/ 38 avec 11 essais !
Ya vraiment plus de saison...
Dernière modification par Ménilmuche (27/06/21 21:44)
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LALLIER a écrit:
Bonjour,
Vendredi soir, la finale qui opposait des Caterpillars à des Bull-Dozers est devenue au cours du jeu, insipide, inintéressante, sans suspens, et triste. Chaque équipe n'arrivant pas à aligner 3 passes d'affilée, le spectateur a dû se contenter d'assister à un combat d'avants qui attendaient la faute de l'adversaire pour progresser, avancer et scorer.
Le tout sous les commentaires de 2 journalistes sportifs télé en manque d'inspiration, devenus chauffeurs de salle, qui essayaient de faire naître un enthousiasme, une passion, qui, hélas, avortaient à chaque impact, une touche mal négociée, un ruck stérile ou une position de hors-jeu. Nos 2 compères se limitaient à des phrases telles que : "l'enjeu l'emporte sur le jeu", "le syndrome Bothia", "plaque tectonique", "jeu de mains jeu de demain"... avec toutes ces phrases "bateau", qui, amarrées au port de La Rochelle, auraient pu recréer l'Invincible Armada (flotte espagnole du 16ème siècle).
Le rugby d' aujourd'hui c'est : pas de mêlée, pas de victoire, mais vendredi soir on pouvait ajouter "pas de Botteur", "pas de Butteur", "pas de Droppeur" ; conclusion : "pas champion". Le demi d'ouverture des rochelais, WEST, terne, était "à l'ouest". Ajoutons une pluie incessante avec un ballon devenu une savonnette, on a dû se satisfaire de touches, mêlées, pénalités ; à toi à moi, à moi à toi et ping-pong rugby.
Si on ne pouvait pas franchir le mur de l'atlantique on allait bombarder avec l'artillerie ce Riche-Lieu et faire le siège du camp de La Rochelle, comme l'avait prouvé ce magnifique drop-goal de KOLBE, de 50 mètres face aux poteaux qui a surpris même l'entraineur de Toulouse.
A la fin, Toulouse 18, champion, La Rochelle 8, vice-champion.
Bonsoir,
Autant il n'y a rien à dire sur la forme de ton post mais alors sur le fond...
C'est quand même rigolo, voire gonflé, de lire cette analyse sur le forum de supporters d'un club dont les derniers faits d'arme au plus haut niveau remontent à une époque dite des mammouths (Caterpillars et Bulldozers d'antan).
J'imagine qu'avec tes appréciations sur la qualité du jeu produit et sur les commentaires tu n'a pas été jusqu'au coup de sifflet final en plus tu ne dois être supporter d'aucun des finalistes.
Toulouse s'est adapté au jeu que lui avait imposé La Rochelle en finale de Champions Cup remportée péniblement.
Par ailleurs on voit bien plus d'équipes jouer au pied sous des trombes d'eau que pratiquer un jeu débridé fait de passes.
Et puis comme on dit une finale ça se gagne même sale.
Je serai curieux de te lire le jour où le F.C.G. remportera le Brennus dans les mêmes conditions.
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