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Un long article sur lui dans l équipe , dont ce passage :
J'avais donné une parole à Grenoble et quelque part je ne l'ai pas respectée. Mais c'était une telle opportunité ! J'ai été un peu égoïste. La vie m'a appris que c'est dur tous les jours, dur à l'entraînement, dur à la ferme. Et j'ai pensé un peu à moi, je me suis dit que j'allais me récompenser. »
Bon pour ceux qui avait pourri les dirigeants a l époque …… CQFD
Pour le reste , le fait de parler enfin honnêtement , il remonte dans mon estime même si ….
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Y'avait une autre version ?
Ceux qui ont pourri les dirigeants leur ont reproché de laisser racheter le contrat d'un gars qui voulait partir, mais j'ai pas vu "pire"
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Merci Zouzou,
en effet, c'est tout à son honneur,
en tout cas ,de plus en plus titulaire au Lou et une assurance tout risque ,enfin d'après moi ,sur sa tenue en fermée ,à un niveau d'exigence bien supérieur que la pro d2.
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Mais heureusement pour lui qu’il s’est taillé. Que ferait il dans ce marasme ?
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A l'évidence, sa décision de changer de "bergerie" après s'être engagé pour 2 ans avec le club 3 mois plus tôt, manquait quelque peu d'élégance. Reste son choix de carrière que personne ne peut remettre en question. Difficile à digérer, d'autant plus que le club ne peut pas aller à l'encontre d'un joueur déterminé. Comme pour les meilleurs jeunes, l'attrait d'une pelouse plus verte n'a pas fini de tourmenter les fans du FCG.
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comment lui donner tord quand on voit notre saison ? lui qui etait au coeur du systeme du fcg il a bien compris ce qui allait se passer. d'ailleurs je pense qu'il est pas le seul.
preparons nous au depart de seguret glenat capuozzo peut être eglaine halaifonua et berru à 3 semaine qui se fait harponer par le lou
Dernière modification par Zoreil (09/01/22 09:14)
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pierre a écrit:
Glenat doit partir ?
Non laisse c’est zoreil et les prédictions de l’année 2022 .
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oui j'ai marqué ça dans la boule de cristal y en a d'autre mais c'est encore flou
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Je ne pense pas que corentin ait envie de partir du fcg. Je pense au contraire qu il veut rester au club.
Cependant, Il a déclaré : "je prends du plaisir au poste d arriere mais c est demi d ouverture le poste ou je veux jouer."
Sachant que fortunel est le no 1 à ce poste et si le staff n instaure pas de rotation à l ouverture. Alors si corentin reste sur son choix de jouer uniquement à l ouverture, le risque de le voir partir n est pas négligeable.
Ce qui en temps que supporter serait un creve cœur.
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Et mine de rien tjs rien concernant une signature d eglaine .
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Et mine de rien tjs rien concernant une signature d eglaine .OU GRATTE MOI L'ANUS cela ne changera RIEN
LE PRESIDENT ET LE STAFF DEHORSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSS
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Ah, y'en a un qui est énervé d'avoir perdu 100€ en pariant sur une victoire du FCG à Oyo
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Jérôme Rey, pilier du LOU, fait figure d'exception en Top 14. Patron d'une exploitation agricole, il conserve une pluriactivité pas toujours simple à gérer au quotidien.
Patrick Sowden à Lyon
mis à jour le 7 janvier 2022 à 00h01
Ce dimanche de fin novembre, Jérôme Rey n'avait pas prévu de remonter à Saint-Vital. La veille, il était du déplacement à Toulon, une entrée en jeu à la 50e pour une défaite du LOU à l'extérieur (13-19). Mais la neige est tombée sur la Savoie et le pilier lyonnais n'a pas hésité à bousculer son jour de récupération : il devait rentrer les bêtes. Ses bêtes. 90 têtes sur 60 hectares, des blondes d'Aquitaine, des Charolaises qui sont autant sa fierté que le nombre de feuilles de matches qu'il a alignées depuis le début de la saison. Jérôme Rey est un cas. Pluriactif comme on dit, à la fois rugbyman et éleveur à Saint-Vital, proche d'Albertville. C'était courant autrefois, avant que ce sport ne devienne pro, à l'époque du rugby des champs, de Garuet, des Spanghero... C'est fini. Ou presque, car un p'tit gars de la Savoie entretient la tradition. Parce que Jérôme Rey, 26 ans, n'a pas voulu choisir entre ses deux passions et assume.
« A 18 ans, J'avais cent vaches. Et six mois après, Bourgoin m'a proposé mon premier contrat pro ! D'entrée, j'ai été lié aux deux »
Le rugby, il y joue depuis qu'il a 8 ans. « Avec les copains, pour l'ambiance. » Mais très vite, il a eu envie d'avoir son exploitation. « Dès ma sortie des études, je me suis lancé, vite installé, sûrement trop vite. À 18 ans, j'avais cent vaches. Et six mois après, Bourgoin m'a proposé mon premier contrat pro ! D'entrée, j'ai été lié aux deux ». C'était un choix personnel. « Mes parents bossent à l'usine même s'ils ont un peu de terrain pour faire du foin. C'est le métier que j'avais envie de faire, qui te rend vite mature, qui te forge. Un travail où il n'y a pas de routine, où tu dois soigner les bêtes bien sûr mais où tu es aussi maçon, mécanicien ou charpentier quand il le faut. »
Longtemps, il a pu concilier les deux. À Bourgoin-Jallieu (Pro D2, 2015-2017) puis à Chambéry (Fédérale 1, 2017-2019) après la liquidation judiciaire du CSBJ. Jérôme avait le temps de passer des crampons aux bottes dans la journée. C'est devenu plus délicat en rejoignant Grenoble en Pro D2. Le rugby prenait de plus en plus de place mais son père passait à l'exploitation après sa journée d'usine pour le coup de main. Sans oublier l'aide essentielle de son épouse infirmière, qui assume de nombreuses tâches administratives, a créé et gère le site internet de vente des produits de la ferme.
Jérôme Rey en action face au Racing (37-35) le week-end dernier. (A. Martin//L'Équipe)
Jérôme Rey en action face au Racing (37-35) le week-end dernier. (A. Martin//L'Équipe)
« C'est une chaîne, reconnaît Jérôme Rey. Et chaque membre de la famille est un maillon indispensable. » Régulièrement, il quittait Saint-Vital pour l'entraînement avec le frigorifique, effectuant un petit détour pour livrer un client. Ça le faisait donc. Mais Jérôme sentait bien que ça devenait compliqué. Surtout, il se demandait si ça n'allait pas l'empêcher de vivre son rêve rugby jusqu'au bout.
« Quand tu es gamin, que tu fais un sport, tu rêves. Au début, je me disais que ce n'était peut-être pas trop pour moi. Puis tu vois que tu as quelques facilités, tu joues, tu y crois, tu croques... Tu vois que l'entonnoir se resserre et tu es toujours là. » Quinze matches pour sa première saison à Grenoble, le double la saison dernière. Il prolonge alors jusqu'en 2023, s'imagine, qui sait, monter un jour en Top 14 !
Le 25 juin dernier - il n'a pas oublié la date -, Pierre Mignoni, manager de Lyon, l'appelle. Ils se sont croisés mais ne se connaissent pas. « Il me dit : " Sur le rugby, tu n'as rien à me dire, j'ai déjà tout vu, je sais où tu as avancé, où tu as reculé, pas besoin de parler de ça. Mais parle-moi de toi, parle-moi de ta vie, de ta famille, de tes envies." On s'est vu, on a discuté et le lendemain, il me rappelle : "Alors, tu veux jouer en Top 14 ? Je te laisse réfléchir." Imaginez la tempête ! » Pierre Mignoni : « On suivait son parcours et le joueur nous intéressait. Mais aussi son engagement dans son autre vie. Dans un rugby de plus en plus aseptisé où tout est programmé, il est rafraîchissant. J'avais envie de voir jusqu'où il pouvait aller, envie de l'aider à y aller s'il était prêt à le faire. »
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Jérôme Rey n'a que quelques jours pour se décider. « J'en ai parlé à ma femme. Pour y arriver, il fallait qu'elle m'accompagne. J'ai appelé mon père. Il fallait tout le monde autour de la table. Je n'ai pas eu besoin de trop parler. Mon père m'a dit : "Vas-y, on se débrouillera." Mon père ne parle pas beaucoup alors quand il dit quelque chose, ça a du poids. Il sait le boulot que cela représente, il sait l'enjeu. "Vas-y, on se débrouillera", ça voulait tout dire. »
Jérôme y va. « Jusque-là, je faisais les allers-retours entre le club et l'exploitation. C'était mon choix, je ne voulais pas l'imposer à ma famille. À moi de me lever plus tôt, de faire les kilomètres, de gérer la fatigue. Lyon, c'est une heure trente de route mais tant que je n'ai pas essayé... Mais l'intensité des entraînements n'avait rien à voir avec Grenoble. Il a suffi d'une bonne séance, un lendemain où ils savaient que j'avais bossé à la ferme, pour comprendre. Pierre m'a juste demandé, "Alors ?" On a trouvé une maison à vingt minutes du stade. »
(A. Martin/L'Équipe)
(A. Martin/L'Équipe)
Pour la première fois, il quitte la Tarentaise avec son épouse et ses deux enfants. « Un autre métier, j'aurais pu le mettre entre parenthèses. Là, impossible, ce sont tes bêtes. J'avais du mal à lâcher. J'ai pris deux salariés après avoir essayé cinq-six personnes. Tu cherches, tu ne trouves pas, tu baisses les bras. C'est dur comme métier, trop dur, certains sont partis d'eux-mêmes. J'ai fini par trouver, j'ai aussi travaillé sur moi-même car j'étais sans doute trop exigeant au début. »
Après sa journée de travail, son père passe et Jérôme remonte une fois par semaine. « Je vois ce qu'il y a à faire, je délègue, j'ai confiance. C'est fini de me tuer au boulot, je suis sur mon plan de carrière. Mais si je vends une bête à un boucher, c'est moi qui la choisis, je ne mets pas la responsabilité sur les épaules de mon gars, j'assume. »
Et il y a les imprévus. Comme lorsqu'un
Et il y a les imprévus. Comme lorsqu'un des deux bâtiments abritant les vaches s'est effondré sous le poids de la neige. Une galère qu'il a fallu régler lors des quelques jours de vacances durant la trêve internationale de l'automne. « Reloger les bêtes chez un collègue, passer son temps dans la paperasse pour les assurances, etc. » Et pendant ce temps, ça joue.
« Aujourd'hui, c'est priorité rugby. Pour ne pas avoir de regret. À Lyon, ils m'ont fait confiance, je ne dois pas
les décevoir »
« Aujourd'hui, c'est priorité rugby. Pour ne pas avoir de regret. À Lyon, ils m'ont fait confiance, je ne dois pas les décevoir. » Et si ç'avait été un club bien plus éloigné géographiquement ? « Ç'aurait été encore plus compliqué mais j'y serais allé, oui. Du jour au lendemain, on te propose de jouer en Top 14 ! Tout joueur en rêve. J'avais donné une parole à Grenoble et quelque part je ne l'ai pas respectée. Mais c'était une telle opportunité ! J'ai été un peu égoïste. La vie m'a appris que c'est dur tous les jours, dur à l'entraînement, dur à la ferme. Et j'ai pensé un peu à moi, je me suis dit que j'allais me récompenser. »
Ça a négocié dur entre les deux clubs pour l'indemnité de transfert (le LOU aurait versé 220 000 euros pour les deux années) et Jérôme Rey a rejoint Lyon avec l'envie de rattraper le temps. « Il est arrivé tard sur le très haut niveau et il a des lacunes en mêlée, des lacunes techniques, précise David Attoub, l'entraîneur des avants lyonnais. C'est une force brute, qui a toujours tout misé là-dessus. Avec son investissement, son envie de progresser, il se rend compte que la force n'est pas tout, que la technique aide à gérer les temps d'un match. »
« Les séances de muscu notamment, ça a été difficile. J'étais nul, je n'avais pas la technique, je portais cent kilos de moins que les autres. À la ferme, je les aurais mis tous d'accord mais là... »
Jérôme Rey
Conscient de ses manques, Jérôme a rejoint le LOU d'abord sur la pointe des pieds. « Oui, il avait un petit complexe d'infériorité, sourit Pierre Mignoni. De par ce qu'il est, par son parcours. » Jérôme l'admet : « Tu arrives et tu t'entraînes avec des joueurs que tu as vu en bleu à la télé ! Tu jouais Valence-Romans et maintenant c'est Toulouse ! Les séances de muscu notamment, ça a été difficile. J'étais nul, je n'avais pas la technique, je portais cent kilos de moins que les autres. À la ferme, je les aurais mis tous d'accord mais là... » Mais Jérôme Rey avance, fait son trou, comme partout où il est passé. Il a mis de côté ses ambitions pour la ferme.
« On va rester petit pour le moment, on n'est pas surhumain. Faut écouter son corps et j'ai eu deux-trois petits signaux qui m'ont fait comprendre qu'il fallait faire attention. » Il y a parfois des coups de mou quand on ne voit pas les vacances. « Peut-être que plus tard, je me dirai : " As-tu profité à fond de la troisième mi-temps" ? Des fois, je me dis que c'est dur. Mais ma femme me ramène très vite sur terre : "Te plains pas, c'est toi qui l'as voulu." » Pas le genre à geindre longtemps.
Conscient de sa chance et de sa différence, plus tracteur que Porsche. « Oui, le rugby, la notoriété qu'il m'apporte, aide mon exploitation, convient-il. Mais c'est parce que j'ai ma place ! Je ne profiterais pas du rugby si j'étais mauvais, si je n'étais pas sur le terrain. Je me sentirais mal à tricher. » Pierre Mignoni sourit : « Ce n'est pas deux mais trois casquettes qu'il a : rugbyman, éleveur et aussi businessman. Il sait comment gérer une affaire ! »
Ça suscite des jalousies, comme il s'en est aperçu cet été quand on lui a volé du foin. « Mais avec le rugby, tu n'en as pas besoin ! » a-t-il entendu. Côté LOU, par contre, le joueur a trouvé sa place. « La première fois où je suis arrivé avec mon frigorifique à Gerland pour livrer ma viande à la Brasserie (du LOU), ça rigolait. Mais c'est moi ! Je suis moi-même ! Et quand les coéquipiers savourent ma viande et me le disent, c'est une petite fierté. »
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Très bon choix de Mignoni : REY gagne sa place de titulaire ( hier contre la Section ) , un pilier de confiance avec une très bonne mentalité : pas le gars à choper le Covid parce qu'il a fait la fëte !
Sûr que le FCG a perdu gros avec son départ ; mais comme le dit Barassi à propos de son départ à Toulouse : " c'est la vie !"
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Oui, belle évolution pour Jérôme, logique et inéluctable. Même si, encore une fois, c'est au détriment du FCG qui n'en finit plus de perdre gros chaque saison, jusqu'au jour où il n'y aura plus rien à perdre...
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Y'a 2-3 bouts de l'interview qui font mal (même si évidemment on ne peut pas autant demander en D2 qu'en top 14) : sur la difficulté des entrainements, sur le niveau en muscu... et sur la technique en mêlée qui n'est pas qu'une question de force !
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Mais l'intensité des entraînements n'avait rien à voir avec Grenoble. Il a suffi d'une bonne séance, un lendemain où ils savaient que j'avais bossé à la ferme, pour comprendre. Pierre m'a juste demandé, "Alors ?" On a trouvé une maison à vingt minutes du stade. »
et aussi
Jérôme Rey a rejoint Lyon avec l'envie de rattraper le temps. « Il est arrivé tard sur le très haut niveau et il a des lacunes en mêlée, des lacunes techniques, précise David Attoub, l'entraîneur des avants lyonnais. C'est une force brute, qui a toujours tout misé là-dessus.
alors on garde perrin ?
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Zoreil a écrit:
Mais l'intensité des entraînements n'avait rien à voir avec Grenoble. Il a suffi d'une bonne séance, un lendemain où ils savaient que j'avais bossé à la ferme, pour comprendre. Pierre m'a juste demandé, "Alors ?" On a trouvé une maison à vingt minutes du stade. »
et aussi
Jérôme Rey a rejoint Lyon avec l'envie de rattraper le temps. « Il est arrivé tard sur le très haut niveau et il a des lacunes en mêlée, des lacunes techniques, précise David Attoub, l'entraîneur des avants lyonnais. C'est une force brute, qui a toujours tout misé là-dessus.
alors on garde perrin ?
J’ai été interloqué également par ces passages. Comme s’il passait de fédérale à pro. Et cela dépasse également le champ de compétence du seul Perrin. Mais bon on te répondra que c’est je ne sais quel ressentiment qui le fait parler ainsi
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Zoreil a écrit:
Mais l'intensité des entraînements n'avait rien à voir avec Grenoble. Il a suffi d'une bonne séance, un lendemain où ils savaient que j'avais bossé à la ferme, pour comprendre. Pierre m'a juste demandé, "Alors ?" On a trouvé une maison à vingt minutes du stade. »
et aussi
Jérôme Rey a rejoint Lyon avec l'envie de rattraper le temps. « Il est arrivé tard sur le très haut niveau et il a des lacunes en mêlée, des lacunes techniques, précise David Attoub, l'entraîneur des avants lyonnais. C'est une force brute, qui a toujours tout misé là-dessus.
alors on garde perrin ?
Heuu l'intensité elle peut simplement être dû au mecs que tu as en face de toi , pas forcément au type d'entrainement . Je vois pas de Grenoblois les mains sur les hanches à l'agonie dans les fins de match et que ca soit à Vannes , contre MDM ou même vendredi c'est plutôt en seconde mi temps que l'on marque nos essais ( exception faite de BeB)
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attention l'avis de zouzou est à prendre au serieux il sait de quoi il 'parle lui
alors que rey ..........'
Dernière modification par Zoreil (09/01/22 15:59)
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Zoreil a écrit:
attention l'avis de zouzou est à prendre au serieux il sait de quoi il 'parle lui
alors que rey ..........'
Hé bien prend toi dans le buffet Martel et aprés tu essais avec Tekori ou Gorgodze ou Cudmore et puis tu me diras .....
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Merci le King pour cet interview.
On a peut-être une explication du pourquoi des très bons joueurs dans d'autres clubs deviennent moyen à Grenoble et à nouveau forts dans leur nouveau club... (Alves par exemple)
Bien entendu que les joueurs s'entraînent "dur" mais suffisamment pour être prêt lors des matchs?
Dans la plupart (tous?) des sports et notamment en athlétisme on a pour habitude de s'entraîner beaucoup plus fort que lors des compétitions pour être plus serein lors de ces dernières.
Est-ce le cas à Grenoble ? Et si on ne veut pas comparer avec Lyon on pourrait le faire avec des clubs de PROD2 voir des promus en top14 (usap...) qui à mon avis n'ont pas dû monter le curseur de l'effort depuis la montée de l'usap.
Et pour la simple raison que les entraînements étaient déjà d'un niveau top14. Peut être que Sempre pourrait nous en dire plus s'il a vu une différence d'entraînement entre prod2 et top14...
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zouzou a écrit:
Zoreil a écrit:
Mais l'intensité des entraînements n'avait rien à voir avec Grenoble. Il a suffi d'une bonne séance, un lendemain où ils savaient que j'avais bossé à la ferme, pour comprendre. Pierre m'a juste demandé, "Alors ?" On a trouvé une maison à vingt minutes du stade. »
et aussi
Jérôme Rey a rejoint Lyon avec l'envie de rattraper le temps. « Il est arrivé tard sur le très haut niveau et il a des lacunes en mêlée, des lacunes techniques, précise David Attoub, l'entraîneur des avants lyonnais. C'est une force brute, qui a toujours tout misé là-dessus.
alors on garde perrin ?Heuu l'intensité elle peut simplement être dû au mecs que tu as en face de toi , pas forcément au type d'entrainement . Je vois pas de Grenoblois les mains sur les hanches à l'agonie dans les fins de match et que ca soit à Vannes , contre MDM ou même vendredi c'est plutôt en seconde mi temps que l'on marque nos essais ( exception faite de BeB)
Et bien on peut voir les choses très différemment en particulier avec l’incapacité à enchaîné deux mi-temps d’égale intensité
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Concernant Jérôme Rey,
j'ai le souvenir d'un reportage lors de son arrivée chez nous il expliquait une peu de la même manière son intégration et ses difficultés en mêlée et de la différence de la prépa de son club d'origine, chambéry, bon, faut chercher, j'ai trouvé ça pour ma part
https://www.dailymotion.com/video/x7ncbzw
En tout cas ,cette saison, il nous fait énormément défaut et son départ n'a pas pour l'instant été remplacé
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Sempre peux tu me dire si on peut voir les entraînements de l usap?
Si oui j irais voir et je pourrais comparer avec ceux du club........
Du fcg bien sûr!!!!!!
Pour répondre à zouzou, à un moment faut qd même accepter qu ailleurs ce soit mieux . Sinon on végète et on n avance pas.
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vpl a écrit:
Y'a 2-3 bouts de l'interview qui font mal (même si évidemment on ne peut pas autant demander en D2 qu'en top 14) : sur la difficulté des entrainements, sur le niveau en muscu... et sur la technique en mêlée qui n'est pas qu'une question de force !
Oui, tout est dit. Il y a longtemps que je pense que les entraînements ne sont ni assez intensifs, ni assez techniques. IL FAUT DU RYTHME POUR PROGRESSER. Je pense que vous avez tous vu la différence qui existait entre Oyo et nous sur ce point et sur la vitesse d'exécution et de replacement. Et c'est à l'entraînement que cela se travaille pour finir par être acquis en match.
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Ceci dit,
c'est quand même normal qu'un club qui joue le top 6 du top 14, ait un niveau d'exigence au dessus d'un club de la pro d2,non?
Dernière modification par pekin (09/01/22 18:56)
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Pékin ce qui m a frappé vendredi c est le rythme qu oyo mettait à la partie.
Perso je pense que c est entre autres une des raisons de la défaite.
Qu il y ait une différence de rythme, certes. Mais si on veut monter en top 14 c est ce rythme là qu il va falloir acquérir au risque de rester en pro d2
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On avait un entraîneur qui était exigeant sur le physique. Il est Irlandais mais ça gueulait que c'était trop dur avec trop de blessés
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didrugby a écrit:
On avait un entraîneur qui était exigeant sur le physique. Il est Irlandais mais ça gueulait que c'était trop dur avec trop de blessés
Comme on blessait effectivement beaucoup de monde (et bien plus que les clubs de top 14), on peut imaginer qu'on bossait dur ET mal
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Il y avait sûrement a redire mais ça bosser dur physiquement. Alors par rapport à aujourd'hui je ne sais plus. Mais plus qu'après son départ.
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Et je confirme que ça bosse plus dur le physique dans les top6 du top 14
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il y a aucune raison que les entrainement soient moins intense entre le top 14 et la prod2.
si c'est des pro qui ne font que ça ...
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vpl a écrit:
didrugby a écrit:
On avait un entraîneur qui était exigeant sur le physique. Il est Irlandais mais ça gueulait que c'était trop dur avec trop de blessés
Comme on blessait effectivement beaucoup de monde (et bien plus que les clubs de top 14), on peut imaginer qu'on bossait dur ET mal
Si ça se blesse à l'entrainement, avec de l'intensité, c'est la faute du prépa physique, ou du joueur qui n'écoute pas le prépa physique.
Ce n'est pas la faute du coach qui demande de l'intensité, à moins qu'il ne demande de faire n'imp avec de l'intensité... là, forcément...
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taric a écrit:
Mais heureusement pour lui qu’il s’est taillé. Que ferait il dans ce marasme ?
Mais le marasme c'est aussi parce que des gars comme lui se taillent ! C'est le dilemne de l'oeuf et la poule.
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La situation actuelle du club (son classement), le marasme en question, serait à mettre sur le compte du joueur ? Un (très) bon joueur, mais bon... En revanche, on ne peut pas nier que sa décision a très certainement un peu plus que contrarié le club (recrutement tardif d'un autre joueur).
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La droiteur d esprit du lou s est qq chose
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