Forum FCG

J e vais tenter de vous narrer un souvenir, qui en même temps pourra faire office de témoignage. Alors ,pour ceux qui me connaissent un peu, occultez moi,et sachez pour commencer que cette histoire est véridique.
Comme d'habitude ,c'est pas tout jeune , puisqu'elle se passe en 1975. Tout frais moulu ,d'un cuisant échec au bac,et en formation accélerée de jeune délinquant à l'avenir prometteur, je me décide d'un commun accord avec moi-même et certains amis protecteurs, de cesser là , les conneries et de reprendre le fil tortueux de mon  devenir, d'en dénouer les noeuds et de rendre enfin plus sereins mes pauvres parents au bord de la crise de nerfs. Comme quoi dans la vie ,tout n'est pas qu'une question d'éducation parentale, et que bien souvent les rencontres sont désicives.  Avant cette annèe , déjà quelques bras puissants ,m'avaient  protégés des pires bêtise. Et j'en suis à jamais reconnaissant aux âmes qui tenaient ces paires de bras.
M'étendre sur ces moments serait ennuyeux et presque aussi long , que la messe  dîte pour la benédiction de nouveux mariés. "sans acune allusion personnelle pour un modérateur"
Donc ,munis d'un ticket de train gratuit,je fuyais Grenoble,direction Pau, ville magnifique du Béarn,avec la ferme intention d'en revenir différent.Tout se passait bien, et nous vécûmes des moments forts et intenses au cours desquels une solidarité ,non dîte ,mais bien réelle s'installa durablement. Si quelques uns d'entres vous sont déjà montés dans un Nord- Atlas,dans le but d'en tomber pour attaquer un virtuel ennemis, ils me comprenderont.
En effet ,allez savoir pourquoi, même  la trentième fois les jambes tremblent toujours, et moins l'avion est haut, plus les jambes flagéllent. Ensuite ,il suffit de peu de choses ,d'un temps un peu plus sombre qu'à l'habitude pour voir ce tremblement se transformer en trouille inoubliable,j'en frémis encore.Par contre quand le ciel est bleu, comme le Fcg  jen rougis encore de plaisir rien qu'en y pensant .Mais je m'attarde un peu,et je reviens à mon histoire.Donc ,les rencontres ,j'en fis une remarquable,à travers mon équipier basque.Comment vous le décrire,c'était physiquement Fred avec la générosité que l'on devine à travers de ce sublime rugbyman. Mais pour l'intant,de mon basque je ne voyais que la stature.Un petit souci ,quand même sa haine féroce des Espagnols,allez donc savoir pourquoi?. Je balisai pas mal au moment de lui annoncer mon blaze,mais les grands ont vraiment quelques chose de grands,et très rapidement je devins son seul Espagnol préféré,faut quand même pas exagérer .Attention,mon Basque,c'était un vrai Basque des Montagnes ,une sorte de pirate des cîmes, contrebandier et diffuseur de Pastis .Ensemble nous fîmes les pires bêtises légales.Mais comme toute bonne chose ,un nuage vînt assombrir, mon ciel redevenu clément. Et ce sous la forme d'un Sergent chef au physique impressionnant,mais contrairement à mon basque, au mental pourri et  d'une méchanceté violente.Aec lui, les revues de chambres se finissaient souvent avec des chiase cassées sur le dos des nouvelles recruse,et je n'exagére pas.Physiquement,c'était Manu Diaz,mais en bien moins gentil. Par manque de chance  ce "serpat" originaire de Givors ,jeta son dévolu sur moi à l'loccasion d'un exercisse de pas cadencé. Bon c'est sûr ,j'avais contre moi la tare d'être le plus petit,et en plus je commis l'erreur de mal régler mon pas disgracieux."Et la-bas ,la roulette de queue,nommé ainsi parceque dernier dans les rangs,viens ici.